Trop d’indépendance physique tue, l’indépendance de la moralité

Le style vestimentaire que l’on observe à tort où à raison dans les rues d’Abidjan interpelle de notre sens critique du devoir journalistique. Pratiquement nue peut être vous me direz que le mot est trop fort pour qualifier cette gabegie corporelle cela choque l’entendement humain. Même la curiosité scientifique qui cherche à expliquer le monde se refuse de voir se caractère ambiant de cette nature défigurante que la rigueur n’a pu de contrôle. Oui l’on s’habille mal à Abidjan des tatoulliages sur les fesses, des dessous dehors. Alors une question, qu’est ce que l’on veut prouver au monde ? Pour comprendre ce mécanisme de l’univers de ce style qui empoissonne le regard .L’on glisse vers une métaphore dans la quelle les problèmes de la société sont évoqués en première page à l’aide des termes qui a notre sens expliquerait le spectacle. Ces filles, et même des femmes ont été atteintes par cette maladie comportementale du siècle dans un état d’esprit du partisan des modernes acquis à l’idée de progrès. Ce comportement des filles et de certaines femmes d’Abidjan a atteint son paroxysme dont le nom fait aujourd’hui le lit des bruits et peines en Cote d’ivoire vaut se déshabiller que être habiller le contraste est énorme, on veut faire comme les autres et l’on perd sa valeur traditionnelle. boguieserge@gmail.com

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